Mes kifs lifestyle du mois de septembre

Le mois de septembre a commencé avec une jolie galère, quand un automobiliste sans permis, sans assurance et au taux d’alcoolémie inversement proportionnel à sa solvabilité, a décidé de percuter la voiture devant moi dans un virage. Après quelques jours assaisonnés d’amertume, à ne pas comprendre ce qui m’arrivait ni où j’habitais, j’ai repris du poil de la bête. Il faut dire qu’être en vie et se sentir bien entourée sont de puissants anti-dépresseurs, et très rapidement j’étais repartie pour de nouvelles aventures.

La Fête du ver de bancoule

Croyez-le ou non, je n’avais jamais honoré ce rite de passage auquel se prêtent souvent les nouveaux arrivants (parce que bon, pas une zor’ moi tahi !) Les fois précédentes lors de cette fête annuelle, je m’étais lâchement défilée au moment du « bouffage » – charmante expression du coin pour qualifier la dégustation du ver de bancoule. J’y ai remédié cette année, avec la version « pas très téméraire » : flambés au pastis. Chapeau bas à mes potes, dont Basilou, 4 ans, qui ont honoré la version « raw food » de ces petites bestioles.

Je suis aussi emballée que quand je dois faire ma compta

Mes coussins Missamme

Je suis fan de la marque locale Missamme (et d’Emmanuelle, son adorable créatrice). J’ai déniché il y a quelques temps ces deux coussins qu’elle a cousus main avec la même minutie que toutes ses créations, et je suis ravie de leur avoir trouvé une place de choix dans mon entrée.

Le burger vegan chez The Beach House

Pour changer de la raclette, je suis allée casser du burger dans mon restau préféré. The Beach House propose un menu vegan avec trois belles options de plats, préparés maison avec des produits locaux et frais. Le burger me faisait de l’oeil depuis que je l’avais vu sortir des cuisines pour la première fois : galette de légumineuses, médaillon de tofu mariné au soja et au sésame, aubergine rôtie, sauce coco et curry, crudités, salade et ses frites maison. Une dinguerie. Et l’avantage avec le vegan, c’est que ça ne pèse pas (trop) sur l’estomac. Je l’ai commandé deux fois en moins d’une semaine, mais je vous conseille quand même de vous aménager une sieste après le repas.

La bougie Hutte

Je suis compliquée en bougies parfumées. Je n’aime pas les odeurs synthétiques, ni celles trop gnan-gnan, ou trop sucrées, ou trop communes. Il faut que la cire soit végétale et que le packaging soit suffisamment épuré pour se fondre dans ma déco. Autant dire que je ne trouve pas le graal tous les jours. J’ai découvert la marque Hutte chez Zabar, dont l’intégralité de la boutique était copieusement soldée. La senteur « vieille branche » dégage une odeur à la fois boisée et fraîche, qui rappelle un sous-bois après la pluie.